Comment s’alimenter sainement sans renoncer au plaisir des papilles ?
Existe-t-il un mode de nutrition à la fois diététique et gastronomique ?
Le maintien de la ligne et de la vitalité condamne-t-il à l’austérité alimentaire ?
Existe-t-il un mode de nutrition à la fois diététique et gastronomique ?
Le maintien de la ligne et de la vitalité condamne-t-il à l’austérité alimentaire ?
Des questions que nous nous posons, les uns par gourmandise avisée, les autres par nécessité médicale ou simplement pour préserver leur santé… S’inspirant des grands principes de l’alimentation vivante, tout en se distinguant de ses courants les plus radicaux, la Sagesse Gourmande que je vous propose de suivre y répond à travers quelques grands principes à intégrer dans vos menus quotidiens.
Une alimentation qui nourrit réellement le corps, en donnant de l’énergie, de la vitalité, une bonne capacité à gérer les émotions et le stress, qui augmente l’immunité en facilitant le travail synergique des acteurs de notre organisme (vitamines, minéraux, enzymes,…). D’autre part, c’est une alimentation sans effet secondaire pernicieux, à court, moyen ou long terme. L’alimentation saine, contrairement à une alimentation pauvre en nutriments, n’affaiblit pas le corps et ne le prive pas de ses ressources pour gérer maladies et dysfonctionnements. Elle nécessite peu de travail digestif et n’encrasse pas l’organisme. Elle apporte toutes les substances vivantes nécessaires à la régénération des cellules.
La qualité de l’aliment, lequel doit contenir des nutriments et non des poisons.
Le contexte alimentaire idéal pour digérer sans fatiguer excessivement l’organisme, lequel aura besoin de toutes ses ressources pour combattre, le cas échéant, les différents maux qui pourraient l’assaillir.
L’apport de crudités, voire graines germées, car elles contiennent fibres, nutriments, enzymes et chlorophylle, autant de substances indispensables à notre santé et souvent détruites par la cuisson ou toute autre manipulation culinaire. Les aliments crus ont également la capacité d’empêcher l’apparition d’une leucocytose digestive, soit l’invasion de globules blancs dans l’organisme suite à l’ingestion d’aliments cuits (ce qui en dit long sur le caractère agressif de la cuisson puisque les globules blancs constituent notre « armée interne »).
Le mode de cuisson nécessite une attention particulière afin d’éviter d’encrasser l’organisme de substances toxiques, telles celles qu’engendre la réaction de Maillard ou encore la pyrolyse des graisses.